Je crois que toutes les belles âmes ne peuvent pas se résoudre à croire que Macron et sa clique s’emploient volontairement à détruire notre civilisation pour reconstruire une société conforme aux intérêts de l’oligarchie.
C’est le problème et la limite des gens de bien. Ils ne peuvent pas imaginer le degré de cynisme, de cruauté, de diabolisme, qui anime les bandits en costume sur mesure et cravate Hermès qui ont droit de vie et de mort sur nous.
Ils devraient pourtant savoir que les hommes de pouvoir sont généralement des pervers narcissiques, à la fois sociopathes (manipulateurs, sans affect) et psychopathes (sadiques).
Qui peut en douter en voyant Macron tout fier de nous annoncer les nouvelles tortures imaginées pour nous par une technostructure aussi dérangée que lui et aussi déterminée à « moderniser » la France ?
Qui peut penser un seul instant qu’il se soucie d’autre chose que de son intérêt personnel et de celui de ses commanditaires ?
Qui peut encore douter qu’il ne soit prêt à tout, je dis bien à tout, à nous déposséder, nous enfermer et nous éliminer, pour garder le pouvoir et assurer les profits et les privilèges de l’oligarchie internationaliste dont il fait partie ?
Apparemment notre situation est actuellement pire que celle de la Chine qu’on nous présente pourtant comme le pire des régimes, en France, nous avons perdu tout à la fois notre liberté et nos moyens d’existence, et le moral est au plus bas.
Pour prévenir les émeutes qui ne manqueront pas de se produire dès que la malédiction covidiste perdra de son pouvoir paralysant, l’oligarchie vient de ressortir de son chapeau le revenu de base.
Une allocation qui empêchera la masse des occidentaux sans revenus de tomber dans la grande misère tout en les rendant dépendants de l’État.
Ainsi toute la population sera à la merci des puissants, soit à travers le revenu de base, soit à travers un emploi dans une de ces multinationales qui auront absorbé toutes les petites entreprises et les petits commerces, à la faveur de la « crise sanitaire ».
En attendant de trouver le moyen de réduire le nombre de ces esclaves, au chiffre exact dont l’oligarchie a besoin.
Mais rien ne nous empêche, pour éloigner le cauchemar de cette dystopie2, de continuer à rêver à une société égalitaire et autogérée, débarrassée des actionnaires, des prêteurs et des employeurs, dans laquelle chacun contribuerait selon ses moyens et recevrait selon ses besoins, dans le respect des autres et de la nature.
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