Nous confondons la richesse avec la monnaie – Confusion fatale!
Malheureusement, ce sont les finances et les créateurs de monnaie qui décident ce qui peut être fait ou non dans les sociétés, alors que ce sont les producteurs toutes catégories confondues (y compris ceux qui conçoivent et élaborent les robots) qui détiennent cette clé que les finances et les banques leur ont confisqué à leur insu (parce que notre système d’éducation a de très graves défauts! Des défauts fatals!).
À côté des capacités de production irremplaçables, les milieux financiers sont devenus des parasites redoutables.
Hélas, ce pouvoir financier, monétaire et bancaire est stérile et nocif. Il ne produit rien si ce n’est d’exercer le chantage sur toutes les sociétés productrices qui, par soumission historiques, baissent la tête et, à genoux, implorent qu’on les emploie.
Même si les robots remplacent toujours plus les emplois jusqu’à ce que, effrayés de leurs égarements et leur superbe, les actionnaires, ayant sciés la branche hyper confortable sur laquelle ils sont assis ou dorment se rendent compte (enfin !!!) que le chômage massif représente des « clients » innombrables non solvables…
Et comme dans tous les pays, tout le monde raisonne pareil, la boucle est en train de se boucler… les plus gros actionnaires risquent gros de périr. De périr par où ils ont péché. C’est très classique.
Cette attitude erratique et pernicieuse des milieux financiers aux conséquences gravissimes devrait servir d’expérience en ce sens qu’il faut remettre les bilans comptables à leurs vraies places —secondes— et le savoir-faire donc les capacités de production à leur vraie place — première.
Ainsi, créer un système de vide-ordures financier (fil de terre en électricité) ce serait sans conséquence dans notre ordre naturel et que les « tourments » financiers, remis à leur place, ne démolissent plus les sociétés avec leurs conséquences trop connues !
Commentaire sur le blog de la chronique AGORA
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